sábado, agosto 30, 2008

Noite passada nos Pavilhões da França e da Roménia. Poulenc e Cioran. Os franceses sofreram, como é hábito.
Sobre este poema de Boileau,

Rien n’est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ;
Il doit régner partout, et même dans la fable :
De toute fiction l’adroite fausseté
Ne tend qu’à faire aux yeux briller la vérité.
Sais-tu pourquoi mes vers sont lus dans les provinces,
Sont recherchés du peuple, et reçus chez les princes ?
Ce n’est pas que leurs sons, agréables, nombreux,
Soient toujours à l’oreille également heureux ;
Qu’en plus d’un lieu le sens n’y gêne la mesure,
Et qu’un mot quelquefois n’y brave la césure :
Mais c’est qu’en eux le vrai, du mensonge vainqueur,
Partout se montre aux yeux et va saisir le cœur ;
Que le bien et le mal y sont prisés au juste ;
Que jamais un faquin n’y tint un rang auguste ;
Et que mon cœur, toujours conduisant mon esprit,
Ne dit rien aux lecteurs qu’à soi-même il n’ait dit.
Ma pensée au grand jour partout s’offre et s’expose,
Et mon vers, bien ou mal, dit toujours quelque chose.

Diz o romeno, certeiro: "«...le vrai seule est aimable.» - C'est de là que proviennent les lacunes de la France, son refus du Flou et du Fumeaux, son anti-poésie, son anti-métaphisique."

Já Eça tinha reparado nessa falta - e no que sobre ela de bom e de mau se constrói - quando nos relata, através nas Cartas de Paris, nos Ecos, nas Cartas Familiares e Bilhetes de Paris, nas Notas Contemporâneas, etc, o que foi a superação da sua angústia de influência da França.

Que calor que está! Iremos ter outro Setembro quente?

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